
Vue sur un jour une étape.
🌿 Un jour, une étape : le voyage intérieur guidé par Dux
Il existe des livres que l’on lit, et d’autres que l’on vit.
Un jour, une étape fait partie de ces œuvres rares qui invitent non pas à tourner des pages, mais à tourner des regards vers soi.
Ce roman-carnet est une expérience intime : un dialogue entre le lecteur et Dux, un guide bienveillant qui accompagne l’âme jour après jour. Chaque page propose une question, une émotion, une musique, une réflexion ou un geste concret pour se reconnecter à soi-même, à la nature et aux autres.
🌙 Une aventure d’introspection
Tout commence par une simple invitation : choisir un prénom pour son âme. Dès lors, le lecteur entre dans une aventure où il apprend à se découvrir, à écrire ses vérités, à déposer ses fardeaux et à reconnaître sa lumière intérieure.
À travers des thèmes universels — l’amour, la solitude, la joie, la peur, les souvenirs, les rêves — Dux guide avec douceur et curiosité, sans jamais juger.
Ce n’est pas un roman au sens traditionnel. C’est une conversation. Une correspondance spirituelle où chaque mot devient miroir.
☀️ Un livre à vivre, pas à lire
Chaque « journée » du roman invite à une action : écouter une chanson, marcher en pleine nature, écrire sur ses émotions, dessiner, brûler un secret, ou simplement respirer.
Le lecteur devient acteur de sa propre histoire. Page après page, il construit un journal de transformation, un témoignage de son évolution.
Un jour, une étape nous rappelle que le bonheur n’est pas une destination, mais un chemin fait d’instants, de doutes et de prises de conscience.
💫 Un message universel
À travers Dux, l’auteur transmet un message simple mais puissant :
“Affronte les épreuves en écoutant ton cœur.
Mûris grâce aux échecs et non en mourant d’eux.
Observe les soleils qui t’entourent et nourris-toi de leur lumière.”
C’est une ode à la résilience, à l’amour de soi et à la beauté du chemin intérieur.
Ce livre s’adresse à tous ceux qui ressentent le besoin de se (re)découvrir, de mettre des mots sur leurs émotions, et d’avancer — un jour, une étape à la fois.

Vue sur le petit chanteur à la larme noire ( version illustré ).
🎶 Le Petit Chanteur à la Larme Noire : la mélodie de l’âme blessée
Certains romans chantent plus qu’ils ne racontent.
Le Petit Chanteur à la Larme Noire est de ceux-là : une œuvre poétique et bouleversante où chaque mot semble vibrer comme une note suspendue entre la douleur et l’espoir.
Ce livre illustré est bien plus qu’une histoire. C’est une ode à la sensibilité, un cri du cœur, un voyage à travers les émotions les plus profondes de l’être humain.
🌑 Le chant d’un enfant, la larme d’un monde
Au centre du récit, un jeune chanteur, fragile et lumineux à la fois, porte en lui une larme noire — symbole de la souffrance, de la différence et de la beauté cachée dans les failles.
À travers sa voix, il exprime ce que tant d’adultes ont oublié : la vérité du cœur.
Chaque chanson, chaque regard, chaque silence dévoile une part de son âme, jusqu’à devenir le reflet des nôtres.
Ce roman nous confronte à nos propres blessures tout en nous offrant une promesse : celle que l’art, la musique et l’amour peuvent panser ce que la vie a brisé.
🎨 Quand les mots deviennent images
Les illustrations qui accompagnent le texte ne sont pas de simples ornements.
Elles prolongent l’émotion, traduisent les non-dits, et offrent une lecture parallèle du roman.
Le lecteur est invité à ressentir avant de comprendre, à laisser parler son intuition, comme on écouterait une chanson qui nous bouleverse sans savoir pourquoi.
💔 Un livre sur la résilience et la beauté intérieure
Sous sa douceur poétique, Le Petit Chanteur à la Larme Noire aborde des thèmes puissants :
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la solitude de l’artiste,
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la quête de reconnaissance,
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la différence vécue comme une force,
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et la rédemption par la création.
C’est un récit sur la lumière qu’on trouve dans l’ombre, sur ces êtres sensibles qui transforment leurs blessures en chef-d’œuvres.
🌟 Un roman qui murmure à l’âme
Lire ce livre, c’est accepter d’être touché au plus profond de soi.
C’est un moment suspendu, une respiration dans le tumulte du monde.
Comme une berceuse mélancolique, Le Petit Chanteur à la Larme Noire ne se referme pas vraiment : il continue à résonner longtemps après la dernière page.
“Il chantait pour ne pas pleurer.
Et dans sa larme noire, c’est tout un monde qui se reflétait.”

Vue sur les 7 minutes.
🕒 Les 7 minutes — Quand chaque seconde devient éternité
Et si, en l’espace de sept minutes, toute une vie pouvait basculer ?
Avec Les 7 minutes, Loan Faure signe un roman d’une intensité rare, à la frontière entre le réalisme brut et la poésie de l’instant.
Un récit haletant, bouleversant, où le temps semble se dilater à mesure que le danger se rapproche.
🔥 Un jour comme les autres… jusqu’à l’impensable
Tout commence dans la banalité la plus totale : un homme fait ses courses, observe le monde qui l’entoure, pense à ses proches.
Mais la vie a cette façon imprévisible de tout renverser en un instant.
Une explosion. Des cris. La confusion. Et soudain, le quotidien se transforme en un cauchemar éveillé.
L’auteur nous plonge alors au cœur du chaos, dans une scène d’une puissance visuelle et émotionnelle exceptionnelle. Chaque mot pèse, chaque souffle compte. Le lecteur ressent la peur, la sidération, l’instinct de survie qui s’impose à ceux qui n’ont rien demandé.
⏳ Sept minutes de tension absolue
Le roman se déroule en temps réel : minute après minute, le lecteur avance dans l’histoire comme s’il la vivait lui-même.
L’écriture, à la fois fluide et précise, capte chaque sensation, chaque pensée, chaque vibration du monde au bord du silence.
On ne lit pas Les 7 minutes — on le traverse, le cœur battant, les mains moites, suspendu entre la vie et la mort.
💭 Un récit humain avant tout
Au-delà de la tragédie, ce roman explore ce qui fait de nous des êtres profondément humains : la peur, la tendresse, la mémoire, la force de se battre pour ceux qu’on aime.
Loan Faure parvient à mêler la brutalité du réel et la beauté de l’émotion, sans jamais tomber dans le pathos.
C’est un texte sur la fragilité de la vie, mais aussi sur sa lumière — cette étincelle qui persiste même dans les moments les plus sombres.
💫 Un hommage à la vie
À travers ce récit, l’auteur nous rappelle que chaque instant compte, que chaque regard, chaque mot échangé peut devenir un souvenir précieux.
Les 7 minutes n’est pas seulement un roman sur le drame : c’est un hymne à la vie, à la résilience, à la force de l’amour et de la mémoire.
“Dans le silence qui suit le chaos, il reste toujours un souffle. Celui de l’espoir.”
Un roman à lire d’une traite, à ressentir plus qu’à comprendre.
Un texte qui marque, bouleverse, et laisse derrière lui un silence chargé de sens.

Vue sur Ackel ( Tome 1 )
🌍 « ACKEL » — Quand la survie devient la nouvelle humanité
Et si dans un monde noyé sous la poussière et le sable, chaque souffle, chaque goutte d’eau, chaque seconde volée à la mort, devenait la matière première de l’espoir ?
Avec « ACKEL », Loan Faure nous projette dans un univers post-apocalyptique où l’or n’a plus de valeur mais où l’oxygène, la mémoire et l’amour sont les derniers trésors. À la croisée de la dystopie et de l’intime, ce roman haletant, profondément humain, interroge la fragilité des liens, la violence du réel et la force de la résilience.
🔥 Un monde brisé, une étincelle d’espoir
Tout commence dans l’aridité d’un désert mortel. Ackel, traînant une mystérieuse valise, lutte pour chaque respiration. Dans ce monde où la chaleur a englouti la vie, où l’eau et l’oxygène sont rationnés, c’est la rencontre avec Lyana qui sera le premier miracle. Elle le sauve, l'accueille, et dans ce geste, tout le roman prend sa dimension : chaque vie sauvée est une victoire contre le chaos.
Loan Faure nous immerge alors dans une société de survivants : Servus, Barter, Oxygénie… Autant de villes, de clans, de secrets à percer. Un univers d’une richesse visuelle et émotionnelle rare, où les reliques de l’ancien monde deviennent des objets de culte ou de troc, et où chaque personnage porte la marque d’une histoire à vif.
⏳ La tension du présent, la poésie de l’instant
Le récit se vit à la première personne, seconde après seconde. On traverse avec Ackel l’angoisse des rues désertes, la terreur des attaques, la tendresse fragile des moments à deux. L’écriture, précise, nerveuse, mais aussi sensorielle, fait ressentir la soif, la peur, l’épuisement, mais également l’émerveillement devant un simple arbre ou la chaleur d’un feu.
Impossible de ne pas s’attacher à ces personnages cabossés, courageux, qui avancent malgré tout. Loan Faure ne tombe jamais dans la grandiloquence : le drame et la violence sont là, mais le roman préfère explorer la lumière qui subsiste, même infime.
💭 Une aventure humaine avant tout
Au-delà de la survie, « ACKEL » est un hymne à la solidarité, à la famille choisie, à l’amour qui sauve du désespoir. Le roman questionne : qu’est-ce qui nous rend humain dans un monde déshumanisé ? La réponse tient dans la relation entre Ackel et Lyana, dans leurs doutes, leurs promesses, leurs sacrifices.
On y trouve aussi une réflexion sur la transmission : les objets du passé, une bague, une broche, une simple recette, sont autant de liens invisibles entre les générations, de racines pour ne pas sombrer. La mémoire devient alors acte de résistance.
💫 Résilience et promesse d’avenir
Dans la dernière partie du roman, la tension atteint son comble : complots, alliances, combats pour reconquérir la dignité et la liberté. Mais, au bout du chemin, c’est toujours l’humain qui l’emporte sur la fatalité. L’auteur salue la capacité d’adaptation de ses héros, leur créativité, leur foi en un amour plus fort que la mort, et offre au lecteur un final aussi bouleversant qu’inspirant.
« On croyait avoir tout perdu, mais il nous restait la capacité d’aimer, de croire, de se battre. Tant qu’il y a un souffle, il y a une histoire à écrire. »
👉 Pourquoi lire « ACKEL » ?
Pour plonger dans un univers post-apo original, visuel, poignant.
Pour vibrer avec des personnages authentiques, portés par l’amour, la peur, la rage de vivre.
Pour réfléchir à notre monde, à l’essentiel, à ce qui compte vraiment.
Pour un récit qui mêle l’action, l’émotion, la poésie, sans jamais tomber dans le désespoir.
« ACKEL » — Un roman coup de poing, coup de cœur, qui rappelle que l’humanité trouve toujours une voie, même là où tout semble perdu.